On jase beaucoup
Et l'on jasera encore longtemps
Sur les comportements différenciés de Goethe et Beethoven croisant la famille aristocrate que l'on sait.
On jase beaucoup moins sur une répartie de Beethoven, qu'il adressait à un musicien se plaignant des difficultés de sa partition.
Je me souviens moi-même de la critique d'une pianiste virtuose jugeant que la partition que l'on lui demandait d'interpréter n'était guère "pianistique".
Là n'est pas la question, lisez la remarque de Beethoven, dites-vous que Wandern la fait sienne pour ce qui est de son écriture.
Je ne me soucie de votre stupide instrument quand je compose.
Cette phrase fut citée par Kocsis Zoltán, pendant sa répétition du concerto pour piano et orchestre n° 18, K. 456, de Mozart. Nous l'avons traduite Szabó Marcell et moi-même, pour l'occasion qui nous fit larrons.
/gemlog/