Antoine Forqueray


Pièces de viole, "La Couperin", par exemple.



Othmar Schoeck


Elegie pour orchestre et baryton.



Partagé ces jours-ci entre ces deux démonstrations musicales.


Je partagé, mais c'est le même du même côté. L'autre côté est en vérité insensible à la musique.


L'Autre n'est sensible et ne vibre qu'au signifiant.


Identifications musicales.


La sensible musculature de Forqueray, quand interprété par des virtuoses qui m'auront entendu ! (sic !) Tels Petr Wagner et Lorenz Duftschmid.

La puissance apaisée de l'élégie, grâce à Christian Gerharher.




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Post-scriptum.

À propos de vers, Szabó Marcell m'a permis de lire un extrait de la traduction de Arany János, par Marc Martin. Excellente ! Ces vers me ramènent aux miens ! Tenez : "Silence de mort, dedans, dehors"



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